Alone _{Ambre

Savin' Me By Nickelback
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« L'AMOUR D'UN
ADOLESCENT,
C'EST DE L'EAU
DANS UN PANIER. »

20 LIGNES COMPLETES MINIMUM.

Qui a dit que le destin n'existait pas ?!

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Karma Police. Radiohead.

Ambre n’en pouvait plus. Non mais vraiment ce n’est pas possible d’avoir une vie aussi monotone. C’était toujours la même chose sans jamais une petite surprise, un petit quelque chose qui fait la différence. Elle avait l’impression d’être un robot. Une machine très bien réglé, qui ne faisait jamais de fausse note. Pourtant ce n’est pas ça la vie, il faut découvrir chaque jour de nouvelle sensation, nan ? Enfin, c’est se que la légende dit parce que ici, à Los Angeles, le train-train quotidien commençait vraiment à peser sur les épaules de la belle demoiselle. N’allez pas croire qu’elle déprimait ou quoi que ce soit. Ce n’est pas vraiment son genre et en plus elle déteste cette sensation, ce sentiment de voir tout en noir. Nan, elle, c’était une optimiste, une vraie. Elle était juste lassée, et pour tout vous dire ne trouvait même plus la force d’aller mal. Cela faisait quelques minutes qu’elle était rentré chez elle, après deux heures de littérature. Vraiment intéressant. N’ayant trouvé personne pour discuter, elle était rentré directement chez elle. En passant par la cuisine, elle avait grignoté les petits gâteaux qui restaient sur le plan de travail puis avait monté les escaliers, en trainant les pieds: direction sa chambre. Machinalement, elle alluma son ordinateur puis bien évidemment sa chaine Hi-fi. Par chance, elle aimait beaucoup la chanson qui passait à la radio. Enfin, un léger sourire apparut sur son visage. Ambre détestait le silence, ça lui faisait peur. Tout de suite avec la musique, la pièce était réchauffée. Elle se sentit tout de suite plus à sa place. Elle regarda les petites nouvelles sur Facebook et regarda qui était connecté sur Msn. Huum, on pourrait le croire comme ça, mais nan Ambre n’était pas une geek.

Le temps passa. Elle resta allongée sur son lit, a observé le plafond pendant quelques minutes qui lui sembla des heures. Elle détestait n’avoir rien à faire. Elle aurait pu faire un truc utile ; genre lire ou s’avancer dans ses devoirs, mais elle ne bougea pas. Elle attendait. Quoi ? Vous allez trouver ça ridicule, mais elle attendait un signe. Evidemment, pas quelque chose qui changera sa vie, comme dans les grands films américains, mais juste un message sur son portable ou une conversation qui s’ouvre sur son ordi. Elle voulait avoir une preuve qu’on pense à elle. N’importe qui aurait fait l’affaire même si, Lui, aurait été parfait. Elle savait que si elle restait encore plus longtemps ici, elle allait finir par craquer et elle ne voulait pas penser à lui. Pas ce soir. Elle se leva d’un bon, prit son portable, son seul ami. Les rues étaient calmes, voir désertes. Tant mieux, elle voulait voir personne. Elle marcha, marcha, sans avoir un but précis. La nuit était déjà tombée lorsqu’elle se retrouva au stade. Elle aimait bien venir ici, le calme régnait. Peu être un peu trop. Peu importe. Elle crut halluciner un instant en voyant au milieu de la pelouse le seul homme qu’elle voulait voir et éviter. Elle marcha tranquillement vers lui, impossible qu’il ne l’ai pas remarqué. Un léger sourire apparut sur son beau visage. Elle était contente de le voir, pourquoi le cacher ? Elle prit la parole sans lui laisser le temps de le faire.

« Ah ouais, t’es comme ça toi, tu restes seul le soir dans un stade vide ?! Tu sais que ça peu être dangereux ? Elle rigola doucement. Nan mais sérieux, tu vas bien ? C’est pas ton genre de resté tout seul… Elle réalisa d’un coup. AH ! Excuse, t’attendais quelqu’un ?! »

Elle se passa la main dans les cheveux, d’un air gêné. Il devait surement attendre une fille, comme d’habitude. Elle sourit discrètement, pour ne pas montrer sa jalousie.

« Ah ouais, t’es comme ça toi, tu restes seul le soir dans un stade vide ?! Tu sais que ça peu être dangereux ? Elle rigola doucement. Nan mais sérieux, tu vas bien ? C’est pas ton genre de resté tout seul… Elle réalisa d’un coup. AH ! Excuse, t’attendais quelqu’un ?! »

Un sourire apparu sur le visage du jeune Stevensen quand il vit que c'était Ambre qui était venu à lui. Elle était magnifique comme toujours. La personne qui ne la trouvait pas magnifique devait être aveugle. Elle était belle tout le temps, quand elle souriait, quand elle riait, quand elle rougissait, quand elle dormait et même quand elle faisait une blague pourri en plein dans un silence. L'émotion qui envahit Tristan lui fait un peu peur, mais il ne le montra pas. Il se leva et regarda la belle jeune femme toujours le sourire aux lèvres. Elle ne l'avait pas fui, malgré le jeu débile qu'ils jouaient tous les deux. La belle Nholan, il avait même adressé la parole. Mais Tristan eut un petit temps de réaction, le regard de la jeune Nholan avait l'attention du garçon.

On est plus heureux dans la solitude que dans le monde réel ma chère petite Ambre.

Il s'approcha d'elle, c'est vrais qu'elle était petite surtout à côté de ses un mètres quatre-vingt cinq.

Et non petite chose, je n'attend personne.

Il se mit à faire le tour d'Ambre le sourire toujours aux lèvres. En fait, il pensait être en train de rêver. Si c'était le cas, c'était un beau car."rêve, car il avait le droit à un ange. Il se remit en face de la petite blonde. Tout semblait trop réel pour que ce soit un rêve. Alors, sa journée aurait une tournure inattendu. Il n'avait pas eu besoin d'aller chercher la fille pour l'avoir pour lui tout seul. C'était peut-être une première...

Et toi, petit ange, pourquoi sors-tu seule ? C'est à toi qui risque d'avoir des misères avec cette jolie bouille.

Il effleura la joue de la jolie petite Ambre du bout de ses doigts puis la retira assez rapidement, le contacte de sa main contre la joue de la jeune Nholan lui donna un frisson .

Tu sais, les personnes peu recommandables sortent la nuit, les demons croquent les petits anges, fait attention à toi.

Il eut un sourire malicieux , il faisait allusion à lui-même et continua de fixer Ambre.

Il porta sa cigarette à la bouche et constata qu'elle était déjà arrivée au filtre. D'un geste vif, il lança le mégot au sol et l'écrasa. Il devait se l'avouer se retrouver seul avec Ambre était pesant, il n'avait qu'une seule envie : L'embrasser. Il leva la tête vers le ciel et ferma les yeux. Il expira. Puis reporta son regard sur la belle Ambre.

Pourquoi t'es là petit ange ? Et toute seule en plus ... Tu devrais vraiment faire attention.

Il avait perdu son ton de gamin, il était sérieux ... Du moins il essayait, il ne voulait pas sauter sur la jeune fille. Il se mordit la lévre inférieur. Il avait peur de faire n'importe quoi avec elle. Cette pauvre petite chose qu'il torturé, pour son bien. Enfin, c'était la raison qu'il s'était forcé à penser

Dites-moi que je rêve. Non non non, ça ne pouvait pas être lui. Seul. Bizarrement, Ambre n’était pas si ravi de le voir. Elle ne c’était pas préparer psychologiquement pour cette « épreuve ». Le mot est grand mais pourtant ça en avait tout l’air. Elle souriait automatiquement, alors qu’elle ne le voulait pas. C’était plus fort qu’elle. Il avait l’air plutôt content de la voir et cela lui plaisait. Enfin, elle était habituée à son sourire charmeur et savait comment y résister maintenant. Résister était un bien un grand mot là encore mais elle n’avait pas le choix. Elle sentait quelque chose battre dans sa cage thoracique. Tais-toi mon cœur. Nan mais ce n’est pas possible. Ambre ne se reconnaissait plus. Depuis quand elle était aussi naïve pour s’attacher à quelqu’un qui n’en avait rien à faire d’elle ? Depuis quand elle ne pouvait plus le regarder dans les yeux sans rougir ? Il n’y avait plus de doute maintenant, elle tenait beaucoup à lui. Mais vraiment, quand sait-on lorsque l’on est amoureux ? Elle ne voulait pas le savoir. Sales idées. Elle rigola lorsqu’il lui dit qu’il était plus facile d’être heureux seul. Sur ce coup, il avait raison. Elle se reconnaissait bien dans ses paroles. Elle avait toujours était habitué à la solitude. Rien ne l’avait préparé à être hanté par un démon du nom de Tristan.

« Tu n’attends personne ? Ouhhh… dois-je comprendre que le charme infaible de monsieur Stevensen commence peu à peu à baisser ?! »

Elle le regarda d’un air de défis. Elle le cachait bien, mais finalement, elle préférait éviter de le trouver dans les bras de l’une de ces bimbos écervelés. Elle n’aimait qu’il tourne autour d’elle. On aurait dit un vautour avec sa proie. Mais qu’est ce qu’il croyait ? Qu’elle allait tomber dans le panneau ? Deux fois lui avait suffit … Ah euh, je ne vous avez pas raconter cette « petite » histoire ? Pour tout vous dire, ils avaient déjà couchés ensemble. Bien que ce ne soit pas vraiment le genre de la jolie demoiselle, il est vrai qu’en soirée, la vodka a un très grand impact sur elle. Peut être trop. Elle c’était donc retrouvée deux fois dans le lit de ce Dom Juan. Ils n’en parlaient jamais quand ils étaient sobres. De toute façon, il ne devait pas s’en rappeler. C’est une habitude pour Lui. Elle le laissait parler. Elle aimait bien sa voix. Il lui posait des questions. Genre il s’inquiétait de se qu’il pouvait lui arriver. Elle aimait bien aussi quand il l’appelait ‘petite chose’. Ca avait presque l’air d’un compliment. Elle aimait bien être petite de toute façon. Elle n’en voyait que des avantages. Le premier est que les mecs sont tout de suite plus protecteurs. Elle se décala un peu lorsqu’il voulut lui toucher la joue. Ca avait tout du numéro basique du dragueur. Qu’est ce qu’elle ne pouvait pas supporter ça.

« Mais je sors si je veux grand monsieur ! Elle le poussa de toutes ses forces de la main droite. Il ne bougea pratiquement pas. Okay, elle n’était pas très forte. Peut être que je cherchais un démon… qui sait ? »

Elle le regarda écraser son mégot. Elle le fixait, pour lui montrait qu’elle n’avait pas peur de lui. Non non, le grand méchant loup ne mangera pas le petit chaperon rouge. Pas ce soir. Puis d’un coup, il changea de comportement. Il devint plus sérieux. C’était bizarre venant de lui. Elle ne connaissait que le jeu. Elle aimait bien cette situation d’ailleurs. Ca faisait souffrir, ils avaient l’air de deux petits maternels, mais au moins c’était drôle. Aller savoir à quoi il pensait. Mystérieux. Voilà un mot qui le définissait bien. Dans les moments comme ça, elle aurait voulut avoir des pouvoirs magiques. Oula, une fois de plus son imagination l’embarqua ailleurs. Elle balança doucement la tête de gauche à droite, pour chasser ses idées.

« Franchement, je sais pas. Je te promets je te suivais pas ! Mais en fait je marchais sans réfléchir et je me retrouve à discuter avec toi… »

Elle ne prit même pas la peine de finir sa phrase. Elle allait dire que c’était le destin ou un truc du genre. N’importe quoi. C’était juste le hasard. Elle rajouta :

« Et arrête de m’appeler ‘Petit Ange’. J’aime pas ça, je suis sur que t’appelle toutes les filles comme ça. Je suis plus moi, je suis Ambre, A-M-B-R-E. Elle prit le temps d’épeler toutes les lettres. Et puis, tu sais bien que je suis pas un ange … »

Elle fit un sourire charmeur plein de sous entendu. Puis, elle sorti de son sac son appareil photo qu’elle ne quittait pratiquement jamais. Elle l’alluma puis le pris en photo. Il ne posait pas, rien. Le cliché était réussi.

« Héhé, je t’ai eu ! »

« Franchement, je sais pas. Je te promets je te suivais pas ! Mais en fait je marchais sans réfléchir et je me retrouve à discuter avec toi… »« Et arrête de m’appeler ‘Petit Ange’. J’aime pas ça, je suis sur que t’appelle toutes les filles comme ça. Je suis plus moi, je suis Ambre, A-M-B-R-E. Elle prit le temps d’épeler toutes les lettres. Et puis, tu sais bien que je suis pas un ange … »

Un petit sourire apparut aux lèvres de Tristan, mais il disparut rapidement. Ambre avait l'air jalouse, c'était amusant. Pourquoi elle serait jalouse après tout ? Ils n'étaient jamais sortis ensemble ... Malgré les deux nuits qu'ils avaient passés ensemble, effectivement elle avait été un peu aidé par quelques verres d'alcool. Tristan aurait aimé ne pas avoir de souvenir de ses nuits, mais malheureusement, il se souvenait de tout ... Même de ce qu'il avait dit à la belle Ambre juste avant leurs ébats. Ses mots qu'il ne pensait jamais dire à personne, c'était sorti tout seul, ce "Je t'aime", d'ailleurs il n'avait pas comprit pourquoi il avait dit ça. Il désirait seulement la jeune femme, il ne pouvait pas être amoureux, c'était impensable... Petit ange ... Il n'appelait que Ambre comme ça... Pourquoi ? Premièrement et peut-être le principal, Ambre était petite donc le petit venait de là... Deuxièmement, c'était parce qu'il trouvait qu'elle avait un visage angélique... Mais attention petit ange à trop t'approcher des démons tu vas te bruler les ailes...

-D'accord, A-M-B-R-E, je ne t'appellerais plus petit ange ... ou pas. Je dis ce que je veux, petite chose. Mais je tiens à te préciser que les toutes les filles je les appelle Poupée et pas petit ange. Car ses filles la ne sont pas des anges...

Elle lui sourit. C'était peut-être un sourire forcé ? C'est vrai qu'avec leurs jeux débiles, il avait dû faire souffrir plus d'une fois Ambre... Il sentait son coeur s'emballer, Mais qu'est-ce qu'il pouvait bien avoir ? Pourquoi les beaux yeux de cette fille lui faisaient autant d'effet ? Cependant, le flash de l'appareil photo de la jeune Nholan perturba sa réflection.

« Héhé, je t’ai eu ! »

Il n'aimait pas être pris en photo. Il réagit, peut-être un peu trop rapidement. En essayant d'attraper l'appareil photo de la belle. Il se fit lui-même un croche patte, autant dire que notre Don Juan n'était pas aussi habile avec ses pieds qu'avec les mots... Il tomba... sur Ambre. Heureusement que notre chère Tristan ai des réflexes, il atterrie certes sur Ambre, mais il avait eu le temps de mettre les coudes au sol pour ne pas écraser la jeune fille de tout son poids. En fait tombé , ou plutôt sa maladresse, était peut-être moins dramatique que ce qui se passa par la suite. Il se retrouvait donc au-dessus d'Elle. Son coeur s'emballa. Il sentait le souffle de la jeune femme s'écraser sur son visage. Il savait qu'il devait se lever, ne pas rester comme ça mais ... son corps ne lui répondait plus. Il regarda le visage d'Ambre, il était proche, Peut-être trop proche.

- Ca va ? Je t'ai pas fais mal j'espert ...

Il murmura la phrase. Il effleura encore une fois la joue de la jeune femme du bout des doigt. Ses yeux ne regardaient que les lèvres de la jeune fille. Son envie de l'embrasser était encore plus forte, maintenant qu'il pouvait le faire avec facilité. Mais il savait qu'elle le prendrait pour un jeu, elle ne le prendrait pas au sérieux. Pourquoi devrait -elle le prendre au sérieux ? Hein ?! Mais prendre au sérieux quoi ? ...

» ._ Ambre Nholan.
» Ambre & Edward